<aside> <img src="https://prod-files-secure.s3.us-west-2.amazonaws.com/5ff0ea93-e17a-4a88-92c4-936a8a21e9cb/8b0d6722-8852-49a0-94dd-8fc190d94267/Apprendre_Make_-_Logo_(3).png" alt="https://prod-files-secure.s3.us-west-2.amazonaws.com/5ff0ea93-e17a-4a88-92c4-936a8a21e9cb/8b0d6722-8852-49a0-94dd-8fc190d94267/Apprendre_Make_-_Logo_(3).png" width="40px" /> Apprendre Make


Une boîte de chocolats

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https://www.youtube.com/watch?v=T3xPEF4xl_c

Aujourd’hui, je veux vous expliquer les bases d’un outil incroyable, qui va vous permettre de gagner du temps, d’éviter les tâches inutiles ou sans valeur, ou de traiter de grandes quantités de données. Cet outil, c’est Make. Make peut être intimidant au départ, mais pour moi, c’est simple.

Make, c’est comme une boîte de chocolats.

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Pour expliquer comment fonctionne Make, je veux démarrer par ce petit lapin en chocolat.

Il est mignon, il est doux, il paraît vraiment délicieux, et surtout, j’adore les petits lapins en chocolat. J’en voudrais plein.

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Avec Make, vous pouvez répéter les mêmes actions à l’infini, sans effort, pour un maximum de plaisir sans culpabilité.

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Avec Make, vous pouvez automatiser la création de petits lapins en chocolat, pour en avoir toujours sous la main, quand vous en avez envie, sans jamais même devoir y penser.

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Et puis, avec Make, vous pouvez créer des scénarios liant plusieurs applications, plusieurs services entre eux, dans une recette savoureuse qui va prendre les meilleurs ingrédients de chacun de ces services, de chacune de ces applications, les transformer, les formater, pour créer un résultat encore plus délicieux.

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Pour démarrer votre recette, votre scénario, vous devez choisir un déclencheur, ce qui s’appelle un Trigger dans Make.

Ce déclencheur est vraiment le point de départ, et vous avez toute une série de déclencheurs différents dans Make. Mais surtout, vous pouvez choisir quand ces Triggers se déclenchent.

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La grande majorité des Triggers sont délenchés à intervalles réguliers. Selon les scénarios et vos besoins, vous pouvez demander à Make de vérifier toutes les minutes, toutes les cinq minutes, toutes les quinze minutes etc, si quelque chose de nouveau s’est passé au niveau du Trigger et donc, si le reste du scénario doit être exécuté ou pas. C’est donc à vous de décider à quelle fréquence cette vérification est effectuée, sachant que chaque opération est comptée dans Make et que le nombre d’opérations et la fréquence à laquelle vous pouvez lancer vos scénarios dépend de la formule, payante ou pas, que vous avez.

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Il est aussi possible qu’un scénario soit automatiquement lancé quand un événement particulier fait appel à Make.

C’est le cas par exemple de Tally, un outil de création de formulaire, qui déclenche lui-même un scénario dans Make grâce à un webhook, une sorte d’url spéciale. Il existe aussi des mailhooks, selon le même principe.

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Quand un scénario s’exécute, le Trigger reçoit une réponse. Cette réponse peut être vide : rien ne s’est passé, le scénario ne se poursuit pas puisqu’il n’y aurait rien à traiter.

Mais si réponse il y a, elle prend la forme d’un ou plusieurs bundles, que nous représenterons ici par un ou plusieurs sacs. Dans chaque bundle, on peut trouver des petites douceurs, des items qui sont de plusieurs sortes, de plusieurs types.

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Restons un peu sur ces mots, car ils vont être très importants pour la suite. En réponse à un trigger, un ou plusieurs bundles peuvent être générés.

Dans chacun de ces bundles, on trouvera des items de différents types. Deux de ces types sont un peu particulier car ils sont eux-mêmes des ensembles d’items. On les appelle Collections et Arrays. Voyons ça plus en détails.

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Un item, pour rester dans notre thème, peut être un élément isolé, comme une praline, un petit chocolat, une petite douceur qui vit sa propre vie et ne fait pas partie d’un ensemble.

Un item peut aussi être une collection ou un array, et ceux-ci sont eux-mêmes composés d’items de divers types, le tout s’imbriquant potentiellement à l’infini.

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Un array, c’est un item particulier car c’est un ensemble, lui-même composé d’items. En restant dans notre thématique, c’est un coffret composé d’items du même type, un coffret composé uniquement de pralines et pas d’autres types de douceurs chocolatées.

Dans un array, tous les items sont du même type ou partage une structure commune.

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Une collection, c’est un item particulier car c’est un ensemble, lui-même composé d’items. En restant dans notre thématique, c’est un assortiment composé d’items de types différents, un assortiment de pralines, bonbons et confiseries de diverses sortes.

Dans une collection, les items sont de types divers.

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Essayons maintenant d’aller encore plus dans l’exemple pratique, dans une scène de la vie. Un client entre dans un magasin et commande des chocolats.

Il passe une commande qu’on lui prépare dans un petit sac, qui comprend deux éléments : un coffret et un assortiment.

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Make va, à intervalles réguliers, vérifier si de nouvelles commandes ont été passées.

Cette commande est un input, une entrée qui va donc retourner un résultat, un output.

Cet output est un bundle, un sac qui comprend nos deux items bien emballés.

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Le premier item, le premier emballage de la commande, est du type Array. Un array est composé uniquement d’items du même type.

Ici, dans notre exemple, ce coffret est un ensemble dans lequel tous les items sont du même type, des pralines dans le cas qui nous occupe. Pas de bonbons, pas de confiserie quelconque, juste des pralines.